Jean Buchser, Vice-Président de l’IDAF, est cité dans un article du Nouvel Economiste sur les nouveaux statuts-types pour les fondations et les associations reconnues d’utilité publique (FRUP et ARUP).
Ces nouvelles dispositions sont entrées en vigueur depuis l’été 2018, avec la volonté de moderniser et simplifier leur fonctionnement et d’apporter plus de transparence. Elles pourraient cependant avoir un impact contrasté sur leur fonctionnement, en fonction de leur degré d’avancement sur ces sujets.
Jean Busher, Vice-Président de l’IDAF, interrogé par le Nouvel Economiste pense qu’il s’agit d’“une réforme qui va dans le bon sens et répond à des évolutions que la pratique a essayé d’imposer avec le temps“.
Parmi les mesures annoncées, certaines auront probablement un impact plus fort que d’autres sur le quotidien immédiat des structures. C’est par exemple le cas de la convocation des adhérents par e-mail, qui n’était jusqu’ici pas possible au sein des FRUP, ainsi que la tenue des réunions à distance rendue possible désormais.
En plus de générer des économies en matière de coûts de déplacements, Jean Buchser rappelle que cela simplifiera la tâche des administrateurs et des conseils d’administration pour se réunir. “Beaucoup d’ARUP avaient des difficultés à réunir l’ensemble de leurs administrateurs autour d’une même table, voire même à séduire de nouvelles recrues, car leurs activités ou déplacements s’avéraient compliqués.”
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