Quel regard critique porter sur l’impact social et son évaluation dans le secteur non lucratif ?
C’est cette question sur laquelle se penche l’IDAF dans une tribune parue dans le JurisAssociations n°620 du mois de juin.
Oriane Desgeorge, Déléguée Générale de l’IDAF affirme que “de nouvelles pratiques de financement, de communication et d’évaluation pénètrent le secteur, et les opérateurs de l’intérêt général, au départ témoins, sont désormais acteurs de la tendance, engageant de véritables choix stratégiques pour leurs organisations“.
Puisque les associations possèdent “une vision alternative de l’économie, socialement utile et créatrice de richesse partagée, qui ne se réduit pas à la seule contrepartie financière” (Avise, La Fonda, Le Labo de l’ESS, synthèse de l’étude « ESS & création de valeur – Une approche prospective de la mesure d’impact social », sept. 2019.), l’IDAF s’interroge sur la raison et le bien-fondé de la mesure de production de la valeur sociétale pour une association/fondation.
Cet article propose des pistes de réflexion sur :
- les risques liés à la culture de l’impact
- la mesure de la valeur produite
- la force de l’impact social comme indicateur et non comme objectif
-
l’évaluation d’impact comme une source d’innovation sociale
-
la culture de l’évaluation de la valeur sociétale produite associée à la culture de l’évaluation des financements accordés par l’Etat
L’article complet est à télécharger en bas
Contribution précédente de l’IDAF au JurisAssociations sur la Gouvernance associative ici
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