Comment les algorithmes, le digital et l’intelligence artificielle peuvent-ils servir l’intérêt général ?
Alors que ces outils peuvent être utiles à toutes les étapes d’un projet, de son financement à la mesure de son impact, son intégration au sein des associations et fondations n’est pourtant pas évident.
C’est le sujet sur lequel Arthur Gautier, Professeur et Directeur exécutif de la Chaire Philanthropie, ESSEC, et Eléonore Delanoë, Chargée de recherche, se sont penchés.
L’article de The Conversation évoque plusieurs nouveautés pour les acteurs de l’économie sociale et solidaire :
* la digitalisation de la collecte grâce à des plates-formes de financement participatif (crowdfunding) permet plus de transparence financière et permet de cibler les donateurs.
* la désintermédiation entre les acteurs associatifs classiques et les sites/applications
* le marketing digital permettant de toucher un vaste public
Cependant, la “tech for good” (l’utilisation de la technologie dans des projets à fort impact social et environnemental) représente un réel défi pour les organisations qui se voient confrontées au manque de financement. Comment financer une transition numérique, une expertise technologique avec des financements structurels plus difficiles ?
L’article poursuit sur l’écart entre le monde tech et le monde associatif.
“Ainsi, 26 % des structures de l’ESS interrogées par le Social Good Accelerator estiment que les valeurs entre acteurs de l’intérêt général et acteurs tech sont incompatibles. Mais il existe des freins plus importants à la coopération : la méconnaissance (76 %) et l’absence de lieux de rencontre entre ces différents acteurs (66 %).”
Retrouvez l’article en entier ici.
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