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L’ADSEA 77 rejoint l’IDAF !

L’association ADSEA 77 a été fondée en 1944 dans le cadre d’une philosophie humaniste et personnaliste orientée vers l’enfance en danger dans un double mouvement de protection et d’intégration des enfants et des adolescents en difficultés, en situation de risque et de danger physique et moral.

L’association s’est fixé deux objectifs ambitieux :

  • Recueillir et accueillir
  • Protéger et éduquer les enfants physiquement ou moralement abandonnés

L’Association départementale de sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence en Seine-et-Marne (ADSEA 77), dite Sauvegarde de Seine-et-Marne, est reconnue d’utilité publique depuis 1971. Elle a pour but d’apporter une aide aux enfants, aux adolescents et aux adultes handicapés ou en difficulté. Chaque année, 6 000 à 7 000 personnes bénéficient de son action et de ses compétences. Elle offre des conditions favorables pour relayer la demande sociale, diversifier et adapter les réponses. Par des approches différentes et complémentaires, les professionnels concourent à la réflexion, dans le respect des valeurs du projet associatif. 

Les chiffres clés :

  • 6 800 bénéficiaires
  • 60 lieux d’accueil
  • 6 000 actions d’accompagnement
  • 820 professionnels

PROTÉGER ET ACCOMPAGNER : Depuis plus de 70 ans, l’ADSEA77 accompagne, pour quelques heures ou pour plusieurs mois, chaque enfant, chaque jeune et chaque adulte qui passe par un de ses dispositifs vers le rétablissement du continuum de son itinéraire de vie.

Anticiper les ruptures de parcours social, éducatif et scolaire des enfants, et accompagner les familles dans la vie quotidienne et la parentalité.

Valoriser les capacités de chaque enfant et de chaque famille. Faire émerger les savoir-faire et les savoir-être pour un mieux vivre ensemble de ces publics fragilisés.

Diversifier les solutions et créer des passerelles afin de favoriser l’intégration des personnes les plus vulnérables, dont les personnes en situation de handicap, pour que chacun trouve sa place et développe son autonomie.

Faciliter la reconstruction en « faisant avec » les bénéficiaires tout mobilisant les enfants et les jeunes accueillis pour compenser un préjudice dans un processus de (re)création du lien social.

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